Thierry Micouin
Après avoir obtenu une thèse de médecine, Thierry Micouin se forme au théâtre puis à la danse. Il est notamment interprète pour Philippe Minyana, Mié Coquempot, Valérie Onnis. Depuis 2002 il collabore avec Catherine Diverrès en tant qu’interprète et vidéaste. Parallèlement à son activité de danseur, Thierry Micouin développe un travail de création et de recherche sur l’image et la vidéo. Certains de ses films ont été présentés au Centre Georges Pompidou à Paris dans le cadre "Vidéo danse" en 2004, 2011 et 2017.
En 2006, il créé et interprète un premier solo, W.H.O. mêlant danse, vidéo et restitution de récits de vie pour aborder la question de l’identité sexuelle et la réalité du monde contemporain traversé par la violence des stéréotypes de genre.
Lauréat du programme Culturesfrance - Hors les murs (Villa Médicis) en 2009, il choisit New York comme ville de résidence pour créer un projet autour de la prostitution masculine Men at work, go slow ! Cette création, à la fois installation vidéo et performance, s’inscrit dans le prolongement de ses recherches initiées avec W.H.O.
Sa rencontre avec Boris Charmatz en 2009 marque un nouveau pas dans son parcours artistique. Il conçoit Le Petit musée de la danse, présenté dans le cadre de l’exposition Brouillon. Il est interprète dans ses deux pièces, Levée des conflits et Enfant et assistant sur sa pièce, Manger.
En 2012, il est interprète dans Tragédie, pièce pour 18 danseurs d'Olivier Dubois et participe à l'exposition de Xavier Leroy, Rétrospective, présentée au Musée de la Danse dans le cadre du Festival Mettre en scène à Rennes. En 2016, il rejoint à nouveau Olivier Dubois comme interprète dans Auguri, pièce pour 22 danseurs.
En 2014, il créé Double Jack, en collaboration avec la plasticienne Pauline Boyer. Ce projet qui aborde le thème de la masculinité est conçu pour deux interprètes et une installation de cinq guitares électriques interactive.
Sa création, Synapse toujours en collaboration avec Pauline Boyer est créée dans le cadre du Festival Mettre en Scène à Rennes en novembre 2015.
Il est artiste en compagnonnage au Manège de Reims pour les saisons 16/18 et y a présenté les premières de sa création Backline, en novembre 2017.
Fin 2017, il remporte l’appel à projet « Corps, espaces sensibles » du Département 56 avec son projet Faille, créé au centre d’art contemporain Domaine de Kerguéhennec en septembre 2018. Cette pièce a donné lieu à de nombreux projets EAC menés sur le territoire du Morbihan.
En 2022, il crée Jour Futur avec Pauline Boyer, inspiré de l’oeuvre musicale “Future days”, 4e album du groupe de krautrock CAN, sorti en 1973.
En 2023, ils préparent une nouvelle pièce, intitulée Lutte.s, mettant en dialogue le vocabulaire corporel d’une lutte bretonne ancestrale, le Gouren, avec l’œuvre fondatrice du compositeur minimaliste Terry Riley : IN C.
www.tmproject.fr
En 2006, il créé et interprète un premier solo, W.H.O. mêlant danse, vidéo et restitution de récits de vie pour aborder la question de l’identité sexuelle et la réalité du monde contemporain traversé par la violence des stéréotypes de genre.
Lauréat du programme Culturesfrance - Hors les murs (Villa Médicis) en 2009, il choisit New York comme ville de résidence pour créer un projet autour de la prostitution masculine Men at work, go slow ! Cette création, à la fois installation vidéo et performance, s’inscrit dans le prolongement de ses recherches initiées avec W.H.O.
Sa rencontre avec Boris Charmatz en 2009 marque un nouveau pas dans son parcours artistique. Il conçoit Le Petit musée de la danse, présenté dans le cadre de l’exposition Brouillon. Il est interprète dans ses deux pièces, Levée des conflits et Enfant et assistant sur sa pièce, Manger.
En 2012, il est interprète dans Tragédie, pièce pour 18 danseurs d'Olivier Dubois et participe à l'exposition de Xavier Leroy, Rétrospective, présentée au Musée de la Danse dans le cadre du Festival Mettre en scène à Rennes. En 2016, il rejoint à nouveau Olivier Dubois comme interprète dans Auguri, pièce pour 22 danseurs.
En 2014, il créé Double Jack, en collaboration avec la plasticienne Pauline Boyer. Ce projet qui aborde le thème de la masculinité est conçu pour deux interprètes et une installation de cinq guitares électriques interactive.
Sa création, Synapse toujours en collaboration avec Pauline Boyer est créée dans le cadre du Festival Mettre en Scène à Rennes en novembre 2015.
Il est artiste en compagnonnage au Manège de Reims pour les saisons 16/18 et y a présenté les premières de sa création Backline, en novembre 2017.
Fin 2017, il remporte l’appel à projet « Corps, espaces sensibles » du Département 56 avec son projet Faille, créé au centre d’art contemporain Domaine de Kerguéhennec en septembre 2018. Cette pièce a donné lieu à de nombreux projets EAC menés sur le territoire du Morbihan.
En 2022, il crée Jour Futur avec Pauline Boyer, inspiré de l’oeuvre musicale “Future days”, 4e album du groupe de krautrock CAN, sorti en 1973.
En 2023, ils préparent une nouvelle pièce, intitulée Lutte.s, mettant en dialogue le vocabulaire corporel d’une lutte bretonne ancestrale, le Gouren, avec l’œuvre fondatrice du compositeur minimaliste Terry Riley : IN C.
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C.A.M.P est une structure culturelle et artistique nomade basée au pays de Lorient (Bretagne)
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Chargées de production : Lise Delente, Enora Floc’h
Vidéaste associé : Sylvain Marmugi - l’Ourse Films
Identité visuelle : Xavier Perrillat
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